vendredi 26 octobre 2007

@ firy ?

C'est un belge qui rencontre une superbe anglaise. Après un moment il se décide à l'accoster et lui dit :
- Je serais très heureux d'avoir un rendez vous avec vous demain
L'anglaise lui répond alors :
- Never !
Le Belge réplique:
- Never et demi ?

origine du nom Mall

Vous savez comment on a choisi le nom de Mall ?
Au début, ils ont demandé : "vous êtes malgaches ou pas",
on a répondu : "oui",
alors ils nous ont forcé à choisir entre sales et mall, on a choisi Mall.

Lui très hilare, nous rien compris.

Explication, les Mall ont été obligés de choisir entre Mallgaches et Sales Gasy.
Et il demande pardon aux malgaches après çà

new mot

Kevin :
Maman, pour interceptionner le truc, j'ai fait comme çà

je vend ... qui achète ?

Dire de Ariane :
Isabelle m'a donné ces trucs (leaflets de Aina avec le texte de sa nouvelle chanson) pour partager à l'école, mais je crois que je vais vendre à 2000

Commentaires :
Eva : j'adore Ariane et son insctinct commercial...celle là au moins L nous survivra à tous surtt face à la difficulT de la vie hein

Nina : zanaka karana e...... comme elle m'a demandé si je pensais pouvoir l'aider à vendre, je lui en ai pris 5 que j'ai donné à mes collègues. Je lui ai donné 10000. je récompense l'esprit créatif, débrouillard et volontaire
Elle nous survivra oui. Le plus étonnant c'est la coexistence de cet esprit mercantile avec la générosité la plus absolue, la naiveté la plus pure, le romantisme à l'eau de rose qui sort à fleur de peau

samedi 20 octobre 2007

bôty

Nahazo bôty oa ity Manou ka isak'izay week-end zao dé mody oe : "tsy maintsy bôty 'ndray zany no anôvako, fa tsy manana kiraro week-end intsony aho !"

jeudi 18 octobre 2007

PORTRAIT D’ARTISTE

PORTRAIT D’ARTISTE

Ellisson Abraham (Abe) : « Exportraite-toi »

Ellisson Abraham, dit Abe, accomplit la prédiction d’Andy Warhol qui promettait à chacun de nous son quart d’heure de célébrité. Lui, invite le public à s’auto-portraiturer, annulant toute distance entre le photographe et son modèle. Il suffisait d’y penser.

Abe débusque le photographe qui est en chacun de nous.

  • La photographie a-t-elle sa place dans une expo d'art contemporain ?
  • Moi je suis un gars simple. Je ne me retrouve pas trop dans le concept d'art contemporain. Disons que ce n’est pas le genre de discours que j’emploie tous les jours… Mais si c’est pour se demander si un photographe a-t-il sa place dans une telle manifestation, bien sûr que oui. Il y a belle lurette que la photograhie n'est plus considérée comme un art mineur. Peintres ou photographes, on est tous des artistes, avec la même envie de créer. Avec chacun ses thèmes de prédilection : moi, c’est plutôt les rues, les visages, l'environnement. Je retrouve dans 30 et presque songes ce désir d'innover, de faire de nouvelles expériences, donc je me sens chez moi.
  • Tu as un rapport très original à la photographie : chez toi, ce sont les sujets qui se tirent le portrait…
  • (Rires) Ce que j'essaye de faire dans Exportraite-toi, le thème que je présente à l’expo, c’est d’amener les gens à être leur propre photographe et de les confronter ensuite à leur image sur l’écran vidéo. C’est une façon de les libérer du photographe, du rapport modèle-artiste. Ils deviennent leur propre création et peuvent avoir, ne serait-ce que pour quelques secondes, un vrai jeu d’acteur. On n’est jamais si bien servi que par soi-même.
  • Le fameux quart d’heure de célébrité promis par Wahrol... Finalement, c’est très conceptuel comme démarche…
  • Je me définis plus comme un artisan-photographe que comme un artiste. Le peintre crée tout de A à Z, des formes aux couleurs, alors que le photographe est plutôt un capteur d’ambiance. Celui qui appuie sur le bouton au bon moment, avec les bonnes personnes en face de lui.
  • Pas si facile. Encore faut-il savoir capter…
  • Il faut avoir l'instinct du bon climat qui donne la bonne photo. Et bien sûr dominer les problèmes de cadrage, de lumière. Mais pour le reste, c’est le réel qui fait tout le travail. Avec Exportraite-toi, je pousse cette logique à fond, je m’éclipse complètement derrière celui qui se photographie. Je le laisse même seul devant son image quand il la découvre, parce que c'est très intime comme expérience.
  • Y a-t-il un public pour ce genre de démarche ?
  • Je fais ce que l’on appelle de la photographie d'auteur. C'est-à-dire que j’écoute mes envies de création. Les impératifs commerciaux ne sont pas vraiment des impératifs pour moi (rires). Heureusement, il y a les expositions pour pouvoir exister et évaluer son travail.
  • Nous sommes plus une société de l’oralité que de l’image. Comment vois-tu l'évolution de la photographie à Madagascar ?
  • Je pense qu’elle entame une grande ouverture. Aujourd’hui, on voit de plus en plus de photographes de création. Je m’en réjouis, l’image est restée trop longtemps au niveau banal de la pub ou de l’actualité.Actuellement, grâce aux centres culturels et aux initiatives privées, les photographes malgaches peuvent bénéficier de contacts, entre eux comme à l’étranger, ce qui est très important. Tout cela ne peut qu’aboutir à l'émergence d’une authentique photographie malgache.
  • Pratiquer la photo artistique n’est pas toujours facile à Madagascar…
  • Il faut manger, c’est sûr. La vulgarisation des appareils photos, qui est une bonne chose en soi, rend la vie dure au photographe professionnel qui n’a pas toujours le temps et les moyens de se consacrer à son expression personnelle.
  • Ton message à ceux qui veulent te suivre ?
  • D’abord se faire plaisir et garder la passion. Mais aussi beaucoup travailler et regarder ce que font les autres pour mieux avancer. Moi, j’ai beaucoup travaillé le noir et blanc, mais aujourd’hui j’ai envie d’essayer d’autres techniques de photos. Je suis toujours en mouvement, mais c’est la moindre des choses pour un photographe du vivant.

Hernan Rivelo

Date : 21-09-2007

http://www.lexpressmada.com/index.php?p=display&id=11274

lundi 15 octobre 2007

à la une

à la une dans le journal web de moov, aina fait une petite révélation.

découvrer, visiter ce site et faites des commentaires :
http://www.moov.mg/musique.php?articleId=330475

dimanche 7 octobre 2007

tononk'ira

nanonofy aho
fa foana ny adiady sy ny tomany
izay mandrotika ny tany
izao tontolo izao miray hina
tsy hisy intsony fijaliana
hery maro no mitambatra
feo iray no asandratra

manonofy aho
fa foana koa ny mosary
ireo zaza izay mijaly
ravo falifaly
foana ny hanoanana
ireo kambotsy sy tsy nanana
hisy hanome tànana
CHORUS :
raha misy andro iray
tsy mampety izay atao
toloko sy talaho
meteza hanonofy toa ahy
fiainana ho feno hasambarana
hafaliana tsy hifarana
na koa fahoriana
vizana ny fanahy
misalasala miahiahy
meteza hanonofy toa ahy
alina feno hazavana
hatsiaka feno hafanana
te-hanonofy aho
tontolo tsisy herisetra
fahatoniana tsy hanam-petra
tsisy havakavaka
hifandray ny tànana
fo iray ihany no ho eto
hiara hiaina, hiara hitempo
mbola hanonofy aho
ny lainga tsy hisy intsony
ny fo mafana dia ho tony
ny marina no hanjaka
hampahery sy hampitraka
ka ny hitsiny sy ny rariny
izy ireo no tompon-daka
Daddy et Donat RASAMIMANANA

tsy ho nofy


La toute dernière chanson de Aina, toujours composée par Donat, arrangée par Daddy et produite par D.U.W. - Dago Urban Wear, est diffusée sur les ondes depuis le 13 août 2007.


Et si le week-end dernier, elle a fait son entrée aux hit-parade de Mcar, hier, elle occupait déjà la 7ème place ... si la précédente, Tantara Taloha, occupait encore la 4ème place après avoir tenu à la tête d'affiche plusieurs semaine.


Bonne écoute à tous et apprécier la teneur du texte ....