lundi 31 décembre 2007
tampon
La Soeur :
- Maman, c'est quoi un tampon ?
- C'est le truc à mettre à côté de la signature sur les papiers
- Non, c'est pas çà....... Cà c'est à ton bureau......
- Où tu as vu çà ?
- Là, sur ta boiteeeeuuuuu
- Aaaah.... c'est comme les couches pour maman, tu vois
- C'est pour le sang, je sais. Papa a mis çà sur ma dent quand çà a saigné
- Comment çà, c'est pas vrai. Il t'a mis CA?
- Ouais, à son bureau, je me suis cognée et ma dent a saigné.
- Non, chérie, au bureau de Papa, c'est du coton
Le Frère, quelques minutes après :
- Maman, c'est quoi un tampon?
- C'est comme les couches pour maman tu v......
- ah non non non non, je veux pas entendre tes explications...... (et il s'enfuit, effaré)
jeudi 27 décembre 2007
la pianiste
Sissi : Andraina, met-toi devant le piano j'ai dit et révise
Andraina : ah ! mes c'est vacances maman
Sissi : oui, tu es en vacances à l'école mais tu as encore un examen de piano
Andraina : qu'est-ce qui m'a pris de m'inscrire au cours de piano hein.
mercredi 26 décembre 2007
mes voeux ...
lundi 24 décembre 2007
naissance d'une étoile
Le vingt deux décembre à vingt et une heure,
Une étoile est née,
C'est sa première apparition
C'est son défilé .....
PS : les photos sont disponibles dans l'album en ligne
http://picasaweb.google.com/emmanuel.elison
jeudi 20 décembre 2007
Aina en folie...photos en live
Pour ceux qui ne peuvent pas aller sur le lien de l'article de moov magazine. Voici quelques photos du concert...
...les danseurs
manière élégante
Révérence à l'appui, avec l'acent qu'il faut, il me fait :
- madame, m'accorderez-vous ce pet?
c'est plus élégant que de dire "excuse-moi, je vais péter" hono. avis aux péteurs intempestifs.
«Aina Cook en folie» au gymnase couvert d’Ankorondrano
Ça y est, Aina a franchi le pas. La jeune artiste a fait un show à elle toute seule vendredi dernier au gymnase couvert d’Ankorondrano. Le public aussi jeune que l’artiste a été emporté par son vent de folie.
Notons que ce spectacle lance le second album de Aina intitulé « Tsy hanam-pahataperana ». L'album reflète sa personnalité joyeuse et insouciante et surtout sa jeunesse avec un style plutôt pop rock appréciée par la jeune génération. Le tout accompagné par la marque DUW 1203. A 17 ans, Aina est devenue une véritable artiste, très loin de la petite fille lauréate du premier pazzapa.
Son frère Chris et son père Douglas Cook, qui est son auteur-compositeur, ont également interprété des chansons de Aina comme « Mozika mozika ».
La scène était toute en noir, décorée d’étoiles argentées, tout comme le look de Aina durant la soirée, sans oublier les flammes et les fumées. Les danseurs du groupe Divin, très dynamiques ont su animer la salle, avec un public aussi jeune que celui-là, le courant ne peut que passer. Bref, l’on ne peut que féliciter Aina pour ce spectacle original.
Indrokely © DTS
http://www.moov.mg/culture.php?articleId=347418
mardi 18 décembre 2007
Expo Abe au CCAC de Tana
lundi 17 décembre 2007
Tanteraka ny fanamby
Efa nampoizina ny seho an-tsehatra, fa nampiaiky ny rehetra kosa ny hakanton’ny ravaka sy ny feo tamin’ny ankapobeny. Tanteraka ny fanamby napetrak’i Aina Cook sy ny mpikarakara.
Niaka-tsehatra teny afovoan’ny seho ny tarika Mada City misy an’i Christopher Cook, anadahin’i Aina ihany. Misy rahateo ny hira noforoniny no iarahan’izy mianadahy anatin’ny rakikira faharoa.
Miandry ny tohiny indray...
Zo ny Aina
(source : article du journal taratra - 17/12/2007)
Aina Cook en folie
Le spectacle, promotion de son deuxième album, «Tsy manampetra», vendredi au gymnase couvert d’Ankorondrano, parle de lui-même. Les spectateurs, venus nombreux, sont pour la plupart des jeunes de son âge.
La prestation musicale a déjà été attendue, grandiose, mais la décoration de la scène a fait baver d’admiration plus d’un.
La surprise n’est pas tout : Mada City de Christopher Cook, le petit frère de Aina est également monté sur scène, pour présenter ses propres morceaux. D’ailleurs, il a composé un titre pour le disque de sa sœur.
Le pari est tenu pour le jeune talent et aussi pour l’organisateur de la manifestation.
Vavah Rakotoarivonjy
(source : les nouvelles de madagascar - édition du 17/12/2007)
Un vent de folie sur le gymnase d’Ankorondrano
Ce n’est plus la gamine effrontée qui avait remporté haut la main le concours « Pazzapa », il y a cinq ans. Aina Cook est aujourd’hui devenue une belle jeune femme, se donnant à fond sur scène et épaulée par une équipe talentueuse.
Son précédent concert remonte à trois ans et il s’agissait de sa première rencontre avec son public. Elle a pris le temps ensuite de bien mûrir son talent et les clips passant sur les chaînes de télé ont permis d’entretenir le lien avec ses admirateurs.
La sortie de son nouvel album, cette année, a été l’occasion de ce show de vendredi dernier. Les organisateurs, en l’occurrence D.U.W 1203, n’ont pas lésiné sur les moyens. Spots, écran de fumée, jets de flamme et double écran géant au-dessus de la scène ont donné à la prestation de l’artiste ce petit plus qui fait les grands spectacles.
La jeune femme, quant à elle, a bien maîtrisé son sujet. Esquissant régulièrement des pas de danse avec les danseurs du groupe Divin, elle occupait bien la scène. Enchaînant sans à coup tous les morceaux qui l’ont fait connaître, notamment « Tantara taloha » et « Izy misaona » de DUW 1203, elle a subjugué un public très enthousiaste. Ce dernier n’a pas boudé son plaisir pendant ces trois heures de show.
Aina Cook a été à la hauteur de sa jeune réputation et elle est en passe de devenir l’une des grandes vedettes du showbiz malgache.
Patrice RABE
http://www.midi-madagasikara.mg/midi/index.php?option=com_content&task=view&id=373
Aina affronte un public sage
Mais le petit défaut du rendez-vous se trouve plutôt au niveau du concept du rendez-vous. Pour cette soirée qui a pris le nom d’Aina Cook en folie, la première lauréate de Pazzapa s'est trouvée devant une assistance assez froide. Une situation assez compréhensible dans une salle à moitié remplie.
Néanmoins, musicalement, l'ambiance n'a pas déçu ceux qui s'attendaient à de la musique correcte. L’occasion de découvrir en live tous les morceaux du nouvel opus d’Aina sorti il y a quelques semaines. Mais aussi d'être les témoins de la complicité entre la jeune artiste et son père Douglas Cook, son auteur-compositeur attitré depuis ses débuts, qui a monté sur scène pour gratter quelques morceaux.
Complicité égale avec son petit frère Chris, venu pour chanter Mozika mozika, le tube assez hard de la chanteuse.
Sinon, c'est surtout la forte présence du label de vêtements DUW 1203, l'organisateur du spectacle, qui a fait la beauté du spectacle. On lui doit les deux chansons Tantara taloha et Izy misaona ainsi que toute une gamme d'accessoires vestimentaires.
Hernan RiveloDate : 17-12-2007
http://www.lexpressmada.com/index.php?p=display&id=13139
mardi 27 novembre 2007
Taombaovao sinoa
I Marie Thérèe moa zany dia nanaraka tany @ zay nalehandry zareo rehetra tany, na avy aza ny orana dia lasa ihany ramatoa Rasoa.
Allez bon visionnage.
mercredi 21 novembre 2007
Et l'autre artiste de la famille frappe fort...et on est fier
Nouveauté
Et de deux pour Aina Cook. Il fallait attendre quatre belles années pour le second opus de la première lauréate de Pazzapa. Le nouveau né s'appelle Tsy hanam-pahataperana (sans fin) et a été présenté officiellement, mardi dans la matinée au restaurant La Planète à Ambohijatovo.
Hernan RiveloDate : 21-11-2007
Aina Cook en folie!
Les propos sont de Aina Cook, lors de la présentation de son deuxième album, intitulé, «Tsy Hanam-pahataperana» (littéralement : sans limite).
En effet, ce nouveau disque audio témoigne la présence de la lauréate de l’émission téléréalité de la Rta, Pazzapa, dans le circuit musical. Reflet d’une maturité artistique, et d’un travail de deux ans, cet album se distingue par une couleur beaucoup plus lourde que son précédent. Un rythme très appuyé sur l’utilisation des guitares, acoustique et électrique, ainsi que de la batterie : du pop rock, en un mot, un style en vogue qui lui convient aussi bien sur le vocal que dans le look.
«Tsy Hanam-pahataperana», comprend 12 titres dont «Tantara Taloha», «Izy Nisaona» et «Tsy ho Nofy», des titres que l’artiste a écrits en collaboration avec le précurseur de l’urban wear à Madagascar, (D.U.W).
Toutefois, ses auteurs préférés restent son père, Douglas Cook, sa mère, Brigite Elison et son oncle, Donat Rasamimanana. A priori, le disque est un produit maison, mais de qualité exceptionnelle. Au-delà de la contribution de ses parents et de la chanteuse elle-même, son petit frère, Christopher Cook y participe également dans l’écriture de quelques morceaux, notamment «Mpinamana», un titre qu’il partage en duo avec Aina Cook.
Comme une bonne nouvelle ne vient jamais seule, Aina Cook a également annoncé qu’elle effectuera la promotion de ce disque, sur scène, au gymnase couvert d’Ankorondrano, le 14 décembre, dans «Aina Cook en folie».
Vavah Rakotoarivonjy
http://les-nouvelles.com/
Au programme:
«Tantara Taloha», «Mpinamana» (feat Christopher Cook), «Izy Anie Izy», «Tsy Hanam-pahataperana», «Izy Nisaona», «Mozika», «I Wanna Be Me», «Hanaiky», «Surely Love», «Hitia Anao Indray», «Hatramin’Izay», «Tsy Nofy»
Aina Cook : déjà un deuxième album à 17 ans
« Tsy hanam-pahataperana » semble vouloir exprimer sa détermination à rester sur la scène musicale malgache. L’album est le reflet de cette jeunesse moderne, joyeuse et insouciante qu’elle incarne. Les titres annoncent une couleur pop rock appréciée par la jeune génération.
Pour la réalisation de cet opus, Aina Cook a collaboré avec les mêmes compositeurs et arrangeur, tous de la famille, tout en étant appuyée par la marque d’effets vestimentaires DUW 1203.
« Entre DUW et moi, c’est le même feeling », affirme l’artiste. « Notre collaboration a débuté, il y a deux ans… Je suis leur ambassadrice et porte de ce fait l’image jeune et urbain qu’elle véhicule ».
La marque promet d’investir dans des actions sociales et reste ouverte à d'autres collaborations dans le monde artistique. Première lauréate de l’émission Pazzapa à 13 ans, Aina continue de grandir et d’évoluer sur la scène musicale malgache. Elle a sorti son premier album qui porte son prénom, préférant une collaboration familiale dont le compositeur très convoité Daddy Rasamimanana. La petite Aina se forge tout de même une personnalité et une identité. Elle décide de porter à la scène son nom de famille, pour se démarquer de ceux qui portent le même prénom.
« Il s’agit de mon identité », se défend Aina Cook.
Baignant dans le monde de la musique depuis son enfance, Aina Cook démarre dans le milieu musical avec l’avènement de Pazzapa en 2003. « Cette émission a été une occasion pour lancer ma carrière… Le monde de la musique à Madagascar est assez difficile, mais c’est un travail merveilleux », reconnaît-elle. Aina décrit la scène comme un monde féerique et magique. Avec les pieds sur terre, elle ne manque pas de souligner qu’il faut travailler dur pour pouvoir réussir et rester présente dans le milieu. L’égérie de DUW 1203 donne rendez-vous à son public le 14 décembre prochain au gymnase couvert d’Ankorondrano. « Aina Cook en folie ». Come and see.
FMH
http://www.aody.mg/culture.php?id=2511
Aina Cook, quand une grande star embellit
Le public l’avait découverte en 2003 et est tout de suite tombé sous le charme de cette petite fille à la voix exceptionnelle. Quatre ans après son sacre durant l’émission Pazzapa, Aina, la petite fille aux jolies nattes a bien grandi et fait place à Aina Cook dans toute sa grandeur et sa splendeur.
Mais Aina, c’est aussi une carrière qui se poursuit comme sur un long fleuve tranquille. Son premier opus « Aina » marque son entrée dans le showbiz malgache mais aussi sa détermination à y faire carrière malgré son jeune âge. Jonglant entre les études sous l’œil vigilant de ses parents et les contrats en tout genre, Aina fait plusieurs apparitions aux côtés de grandes stars.
Le public se souviendra de son passage à Tana In Love ou encore Che Bel Canto avec Tovo J’Hay. Inspirant plusieurs jeunes et adulée par beaucoup, la jeune star devient la première ambassadrice de la marque de vêtements « DUW 1203 ». Désormais, ils forment un duo de choc et enchaînent les tubes.
Décembre 2004, c’est l’heure de vérité au CCESCA. Un passage fort réussi qui fait d’elle, l’une des jeunes artistes les plus en vue et dont l’avenir s’annonce plus que glorieux. Un long avenir musical en vue Pour bien garder le rythme et continuer sur sa lancée, Aina Cook sort son deuxième album intitulé « Tsy hanam-pahataperana ». Un opus présenté par la jeune chanteuse, elle-même, qui au fil des années se montre moins timide. « Les couleurs de cet album sont plus pop voire même plutôt pop rock. Sinon, il comprend deux titres en anglais qui sont le fruit d’une collaboration avec mon père et mon frère sans oublier Daddy Rasamimanana. » Certains des titres présents dans l’album ont déjà pu être appréciés par le public sur le petit écran, à savoir « Tantara taloha ».
Mais qui dit sortie d’album, évoque bien entendu, concert de promotion. Ainsi, Aina Cook sera à l’affiche du Gymnase couvert d’Ankorondrano, le 14 décembre prochain à partir de 19heures 30. Un spectacle qui se veut précurseur d’une longue et riche carrière de la chanteuse. Car à peine âgée de 17 ans, l’avenir musical de Aina Cook s’annonce « Tsy hanam-pahataperana ».
RHD © Midi Madagasikara
http://www.moov.mg/culture.php?articleId=340016
samedi 3 novembre 2007
vendredi 26 octobre 2007
@ firy ?
- Je serais très heureux d'avoir un rendez vous avec vous demain
L'anglaise lui répond alors :
- Never !
Le Belge réplique:
- Never et demi ?
origine du nom Mall
Au début, ils ont demandé : "vous êtes malgaches ou pas",
on a répondu : "oui",
alors ils nous ont forcé à choisir entre sales et mall, on a choisi Mall.
Lui très hilare, nous rien compris.
Explication, les Mall ont été obligés de choisir entre Mallgaches et Sales Gasy.
Et il demande pardon aux malgaches après çà
je vend ... qui achète ?
Isabelle m'a donné ces trucs (leaflets de Aina avec le texte de sa nouvelle chanson) pour partager à l'école, mais je crois que je vais vendre à 2000
Commentaires :
Eva : j'adore Ariane et son insctinct commercial...celle là au moins L nous survivra à tous surtt face à la difficulT de la vie hein
Nina : zanaka karana e...... comme elle m'a demandé si je pensais pouvoir l'aider à vendre, je lui en ai pris 5 que j'ai donné à mes collègues. Je lui ai donné 10000. je récompense l'esprit créatif, débrouillard et volontaire
Elle nous survivra oui. Le plus étonnant c'est la coexistence de cet esprit mercantile avec la générosité la plus absolue, la naiveté la plus pure, le romantisme à l'eau de rose qui sort à fleur de peau
samedi 20 octobre 2007
bôty
jeudi 18 octobre 2007
PORTRAIT D’ARTISTE
Ellisson Abraham (Abe) : « Exportraite-toi »
Ellisson Abraham, dit Abe, accomplit la prédiction d’Andy Warhol qui promettait à chacun de nous son quart d’heure de célébrité. Lui, invite le public à s’auto-portraiturer, annulant toute distance entre le photographe et son modèle. Il suffisait d’y penser.
Abe débusque le photographe qui est en chacun de nous.
- La photographie a-t-elle sa place dans une expo d'art contemporain ?
- Moi je suis un gars simple. Je ne me retrouve pas trop dans le concept d'art contemporain. Disons que ce n’est pas le genre de discours que j’emploie tous les jours… Mais si c’est pour se demander si un photographe a-t-il sa place dans une telle manifestation, bien sûr que oui. Il y a belle lurette que la photograhie n'est plus considérée comme un art mineur. Peintres ou photographes, on est tous des artistes, avec la même envie de créer. Avec chacun ses thèmes de prédilection : moi, c’est plutôt les rues, les visages, l'environnement. Je retrouve dans 30 et presque songes ce désir d'innover, de faire de nouvelles expériences, donc je me sens chez moi.
- Tu as un rapport très original à la photographie : chez toi, ce sont les sujets qui se tirent le portrait…
- (Rires) Ce que j'essaye de faire dans Exportraite-toi, le thème que je présente à l’expo, c’est d’amener les gens à être leur propre photographe et de les confronter ensuite à leur image sur l’écran vidéo. C’est une façon de les libérer du photographe, du rapport modèle-artiste. Ils deviennent leur propre création et peuvent avoir, ne serait-ce que pour quelques secondes, un vrai jeu d’acteur. On n’est jamais si bien servi que par soi-même.
- Le fameux quart d’heure de célébrité promis par Wahrol... Finalement, c’est très conceptuel comme démarche…
- Je me définis plus comme un artisan-photographe que comme un artiste. Le peintre crée tout de A à Z, des formes aux couleurs, alors que le photographe est plutôt un capteur d’ambiance. Celui qui appuie sur le bouton au bon moment, avec les bonnes personnes en face de lui.
- Pas si facile. Encore faut-il savoir capter…
- Il faut avoir l'instinct du bon climat qui donne la bonne photo. Et bien sûr dominer les problèmes de cadrage, de lumière. Mais pour le reste, c’est le réel qui fait tout le travail. Avec Exportraite-toi, je pousse cette logique à fond, je m’éclipse complètement derrière celui qui se photographie. Je le laisse même seul devant son image quand il la découvre, parce que c'est très intime comme expérience.
- Y a-t-il un public pour ce genre de démarche ?
- Je fais ce que l’on appelle de la photographie d'auteur. C'est-à-dire que j’écoute mes envies de création. Les impératifs commerciaux ne sont pas vraiment des impératifs pour moi (rires). Heureusement, il y a les expositions pour pouvoir exister et évaluer son travail.
- Nous sommes plus une société de l’oralité que de l’image. Comment vois-tu l'évolution de la photographie à Madagascar ?
- Je pense qu’elle entame une grande ouverture. Aujourd’hui, on voit de plus en plus de photographes de création. Je m’en réjouis, l’image est restée trop longtemps au niveau banal de la pub ou de l’actualité.Actuellement, grâce aux centres culturels et aux initiatives privées, les photographes malgaches peuvent bénéficier de contacts, entre eux comme à l’étranger, ce qui est très important. Tout cela ne peut qu’aboutir à l'émergence d’une authentique photographie malgache.
- Pratiquer la photo artistique n’est pas toujours facile à Madagascar…
- Il faut manger, c’est sûr. La vulgarisation des appareils photos, qui est une bonne chose en soi, rend la vie dure au photographe professionnel qui n’a pas toujours le temps et les moyens de se consacrer à son expression personnelle.
- Ton message à ceux qui veulent te suivre ?
- D’abord se faire plaisir et garder la passion. Mais aussi beaucoup travailler et regarder ce que font les autres pour mieux avancer. Moi, j’ai beaucoup travaillé le noir et blanc, mais aujourd’hui j’ai envie d’essayer d’autres techniques de photos. Je suis toujours en mouvement, mais c’est la moindre des choses pour un photographe du vivant.
Hernan Rivelo
Date : 21-09-2007
http://www.lexpressmada.com/index.php?p=display&id=11274lundi 15 octobre 2007
à la une
découvrer, visiter ce site et faites des commentaires :
http://www.moov.mg/musique.php?articleId=330475
dimanche 7 octobre 2007
tononk'ira
fa foana ny adiady sy ny tomany
izay mandrotika ny tany
izao tontolo izao miray hina
tsy hisy intsony fijaliana
hery maro no mitambatra
feo iray no asandratra
tsy ho nofy
mercredi 26 septembre 2007
Mamie mitsamtsam
Malheureusement pour Mamie, elle chinoise de pure souche, sans avoir le sentiment que cela va agacer les autres, mitsamtsam en vrai. Le petit fils s’étonne car le papa méchant ne dit rien, pose la question :
· Arnaud : Papa, pourquoi tu ne dis rien quand c’est Mamie mitsamtsam ?
· Manou : Ssshhhhh !
· Arnaud : Papa ! quoi sshhhhhh …. Tu dis toujours de ne pas mitsamtsam alors que quand c’est Mamie, tu ne dis rien
· Mamie : mais c’est quoi mitsamtsam
· Sandra : tu fais du bruit quand tu manges
· Brandon : comme ça …
· Mamie : oui mais moi je met des dentiers …. C’est pour ça
· Arnaud : c’est quoi des dentiers ?
· Manou : des fausses dents
· Arnaud : ah ! c’est comme maman ?
· Brandon : alors que maman ne mitsamtsam pas
· Mamie : oui, parce qu’elle est habituée
· Arnaud : ah !moi aussi alors, il faut que je m’habitue car je n’ai pas de dents.
Qu’est-ce que papa va pouvoir dire maintenant quand ses enfants vont mitsamtsam !!!!!!!!!!
dimanche 23 septembre 2007
Vita va ny hiraka …..
Nankalaza ny faha-34 taonany fanambadianay ny raiko ampanahy. Nasaina taimn’izany ny tenako sy ny ankilako, i zoky Marie T. tsy hadino. Satria moa efa ho 30 taona izao ity ray ampanahy no nitoetra sy nitady ravinahitra any ampitan-dranomasina any, ireto Zanany tsy mahay ny tenin-drazantsika intsony. Ary satria moa izaho dia manana zana-kanabavy manana rà vahiny ihany koa, malaza eo amin’ny sahatry ny hira, ary indradra mbola mpitovo dia nangatahina manoka izy ny hanatrika ity fankalazàna ny jaobilin’ny mariazymiaraka amin’ny reniny.
Tany ampiangonana :
Tsy tokony ahagaga antsika mpamaky intsony aza fa raha nanotrona ambavaka izao jaobily izao izahay, dia tsy maintsy ary tsy manaiky mihitsy i Dame Rasoa raha tsy eny amin’ny seza-lava aloha indrindra … izay natokana ho an’i fianakaviana akaiky. Nanoloa anay ary arakizany ny zanaky Bera telo mianadahy : Andry lé sola vantony, i Hary l’irokoï ary i Patricia sy ny anabaviny.
Hita mihitsy alo fa tsy dia mandàla ny fifavahana ireto mpanasa satria dia tsy maharaka ny fomba rehetra momba ny fanompompivavahana mihitsy. Ohatra amin’izany, raha tokony handohalika ny mpanotrona dia ry ‘zareo nipetraka satria noheverivy fa hipetraka ny maro.
Tao ampiangonana alo dia efa nampiseho ny talentany ity anabavin’i Bera. Mikoropadropaka tsy hay hoe ahoana fa dia toa izy mihitsy no “chef d’orcheste” momba ny fizotry ny lanonana. Ohatra tamin’izany raha handeha hanolotra vonikazo ho an’i masina Maria ireto mpivady, ka ny vonikazo ho hatolotra mbola tety amin’ny mpanolotra dia tsy nitsahatra niteny sy namporisika ity tovolahy tsy manatsiny sy menatra miseho vahoaka izy ny hanaterana ireto vonikazo eny amin’izy mivady. “haingana fa efa taperin’i môpera ny lamesa, haingana hoa …”
Nankaiza i Aina :
Vita moa ny lamesa, nifanoroko sy naka sary teo ivelany ny olon-drehetra. Raha ny mpianakavy sy ireo izay nasaina faly nifankahita, i Tita sy ity anabavin’i Bera kosa mitaintaina hoe : “nankaiza i Aina ! ho avy sat sia !”
Lany mihitsy moa ny fahana amin’ny finday an’i Dame Rasoa niantso sy nandefa someso amin’ity zanany hoe : “fa aiza ihany ianareo ! efa vita ny lamesa fa handeha ho any amin’ny tranon-danonana izao”. Nefa moa araka ny fahafantarantsika ankehitriny an’i Razoby dia tsy taitra izy ka namely hoe : “mbola manano fandraisam-peo an’ity olo-malaza izahay, fa tamy rehefa vita ny hatao”. Voatery ary i Dame Rasoa mampitony an’ireto mpikarakara fa ho avy ity olona andrasana.
Nitohy foana moa izany fitadiavana izany, na dia efa tonga tany amin’ny toeran-danonana ary ny be sy ny maro, ary na dia efa nolazaina aza ireto mpikarakara mahafatra-po fa ho avy ny nandrasana. Nitohy lava-reny ka nahatezitra an’ingahy mpitantara, satria mampanotany teny mihitsy hoe “fa dia inona loatra no tena hitadiavana an’ity olo-malaza é !, i Bera sy ny fianakaviany aza toa tsy taitra sy tsy mametra-panotaniana fa toa ireto mikarakara, dia I Tita sy ny anabaviny indray no toa mikoropaka mitady ity zaza malaza”.
Tonga i Aina :
- dring, dring, dring …. Allô
- allô, aiza moa ilay toerana fa tsy hitako
- ay, aiza enao zao ?
- eto amin’ny fidirana eto amin’ny PROCHIMAD aho io
- ay, manaraha iny lalana iny, manaraha ny làlana mankaty amin’ny Lac Hotel. Endrasako eo amin’ny varavarana ianareo.
- Tita : I Bijou nga zany
- Manou : éé, ndeha hitsena azy ery ambavahady aho fa toa tsy hitany ilay toerana
Nanaraka ahy moa i Tita, niandry teo ambavahady. Nefa raha somary el any fiandrasany dia nazoto mihitsy ary nitolo-tena izy ny andeha hitsena ireto nandrasana amin’ny soavaly vy. Tsy nilaina moa izany satria, raha iny saika handeha iny izy dia iny ilay nandrasana fa nipoitra.
- Tita : izaho zany no andeha hi-présenté an’i Aina amin-dry ‘zareo … satria izay no nifanarahana
- Manou : ay … fangaha dia tsy maintsy ho-présenté-na mihitsy !!!
- Tita : tsy izany fa tsy fantan’ireto zanak’i Bera i Aina.
- Manou : ay (aleo moa tsy nanohy resaka satria somary nahagaga ihany ny hoe izaho zanak’I Bera ampanahy aza tsy no-présentée-na tamin’ireto zanany akory)
Satria moa efa i Tita zany no hitondra ireto nandrasana dia lasa aho namonjy ny seza sy ny lovia izay navela noho ny andraikitra lehibe tsy maintsy notanterahina. Ka raha iny mihinana iny indrindra aho dia tonga avu any ity anabavin’i Bera nisaotra. Mbola tsy nisy fisaorana torak’izany mihitsy nahazo an’ity Dame Rasoa amin’ny fahatongavan’ny nandrasana. Marihina etoana fa na tany ampiangonana, na ny fahatongavana tao amin’ny tranon-danonana dia mbola tsy nanatona anay ity anabavin’i Bera. Fa iny tonga iny indrina i Aina no toa lasa olona efa nifanerasera tsy misy toy izany izahay.
Vita ny hiraka :
Tsy nitsahatra ny nanetana an’i Aina intsony aza ity anabavin’i Bera ny mba hiarahan’ireto zatovo hiresaka, hifankafantatra bebe kokoa. I Tita koa moa esty andaniny manampy trotraka. Ny hany nahafinaritra ho ahy alo dia toa lasa voakarakara ny latabatra nipetrahanay.
Amin’itony zava-miseho itony moa dia ny zanakitsika somary miavona izay amin’ny voalohany. Tsy maintsy tambatambazana sy dokafana vao mety hanao ‘zavatra. Eny na dia efa tsy haritra intsony aza. Nihira ary ity mpihira, faly ny be sy ny maro ary nahandratra avo ity zaza. Afaka niaraka tamin’iny aza ny manakana rehetra ka toa sahy niantso ireto zatovo avy any ampita hoe : “allez, on va danser …”
Nandihy tokotrany ny zatovo, fa mbola tsy maintsy teo alo ity zokko, i Tita ary ity anabavin’i Bera. Tsy maintsy teo na dia efa somary vizaka ihany aza.
Nandritr’izany rehetra izany dia naka toerana tsara i dame Rasoa sy ny andilako nijery sy nanisy feho ny zava-mitranga ery alavitra.
Tsy haraka intsony ny rythme :
Ity zandriny, l’irokoï aloha no nialan-daharana voalohany. Niala andaharana satria ity fandihy moa somary kara-kakana ka vizaka ihany ny andilany. Ity zokiny mbola tsy niala an-daharana. Tsemboka soamantsara ary ny zatovo ka somary naka rivotra any ankosotany… Ny lehibe moa namonjy seza satria mangitsy any ankoso-tany.
Vita va ny hiraka :
Faly ary ireto mpikarakara fa vita ny hiraka. Afaka nifandombera ny mpianakavy satria niresaka irery ireto zaza avy any ampita sy ny mpihira malaza.
Ny tohiny, aloe samy haminany azy …
jeudi 13 septembre 2007
Sandra la charcutière
Elle s’est formé sur l’informatique – bureautique par exemple, où elle est sortie majore de sa promotion.
Bravo !
Conséquence, elle s’est ouverte deux comptes e-mails et passe plus de temps devant un PC que d’habitude. Tout y passe, même le jeu de solitaire.
Aujourd’hui, elle a terminé son apprentissage à la charcuterie et elle nous montre par cette photo le résultat.
Bravo !
Comme conséquence, je pense que nous allons manger un peu plus de la charcuterie qu’avant maintenant. Est-ce bon pour nous ça ?
mercredi 12 septembre 2007
Viande marron
Qui ne connais pas la gloutonnerie de notre Brandon … peut être mémé qui a osé lui laissé entrevoir un après-midi, à l’heure du goutter son sakafo du midi !!! Erreur.
Brandon : moi j’aime la viande marron
Dame Rasoa : tu aimes la viande marron !
Brandon : oui
Dame Rasoa : tu veux manger avec mémé !
Brandon : oui (avec soulagement)
Mais Brandon a bien dit qu’il aime la viande marron, alors il a raflé d’abord les viandes marron, obligeant ainsi la mémé à ne plus manger car le riz est sec. Sans viande marron, Brandon a quand même continué à manger le riz, obligeant de nouveau la mémé à acheter du pain, car la famine crie quand même.
Vous pensez en ce moment que Brandon a attaqué le pain fraîchement acheté, non ! Et bien non, la mémé a attendu que le glouton rentre chez lui pour envoyer l’ambassadeur chercher ce pain, malgré la famine.
Bien que c’est une bonne stratégie de servir de la viande marron, espérant ainsi que cela va constituer LE lôka de maroanaka, il ne faut jamais laissé un glouton entrevoir de la viande marron. Vous allez toujours perdre.
tarzan boy
Soudain, on entend : « ôôôôôôôô … night to night, give me over … »
La maman, contente, se sent d’un seul coup rajeunie et fière de dire à ses fils, voilà Tarzan boy.
Arnaud : où ça !
Maman : à la télé, le chanteur
Brandon : beurk ! c’est nul.
La fierté de la maman est bafouée.
mardi 11 septembre 2007
mianara teny gasy
Ariane :
- Mama, ahoana fiteny lait en poudre en malgache?
Maman :
- Vovo-dronono
Ariane :
- Mama o, mba omeo vovo-nono za azafady
Kevin :
- C'est quoi çà vovo
Maman :
- vovoka ronono
Kevin :
- aaaaahhhhhh, poussière de lait?
SDF
Papa : c'est un sans domicile fixe
Arnaud : c'est comme les gens là qui dorment dehors ?
Papa : ces gens là sont de 4'mis
Arnaud : mais ils n'ont pas aussi de maison ...
Papa : un SDF, c'est comme un poux qui s'est trouvé sur la tête d'un chauve
Arnaud : ah ! si tu as des poux, c'est un SDF alors ....
lundi 10 septembre 2007
tsy hadino akory
- dring, dring, dring !
- allo
- où tu es ?
- toujours au parking, pourquoi ?
- il y a le frère de Vololona qui m'a appelé au téléphone tout à l'heure. Apparemment, elle et Ianja sont arrivés d'Italy et personne pour les récupérer
- OK, je pars de suite ....
Mais avant de partir, je me suis dit, comment ça se fait que mon frère n'est pas au courant !!!! Je vais quand même l'aviser.
- tic tic tic tic tic tic tci tci tic tic
- allo
- Salama, tô oe efa ao Ivato ry 'zareo ?
- ié. tonga alo lé rôpilane. Efa ety andàlana za ka
- okay azy. Tsy makany intsony aho zany.
Le soir, moi et ma famille avons rendu visite à mon beau-frère.
- Salut, ça va ?
- Ouais. un peu fatigué mais ça va
- comment ça fatigué
- oui, je revient de Rhôme là
- par le vol de ce matin
- oui, pourquoi ?
- apparemment le vol arrivait plus tôt que prévu ce matin
- comment tu le sais
- ben, il y a ma belle-soeur et son fils qui étaient dans l'avion ... et ils ont du attendre Abe à l'aéroport
- ah ah ah ah. En fait, nous étions tellement fatigué et en plus, à Nosy-Be, il n'y avait pas de monde alors nous avons décidé de décoller plus tôt. Et nous sommes arrivés 1h plus tôt.
Et oui, si Frank savait que Vololona et Ianja étaient dans l'avion, il aurait pu lui demander de les ramener en ville ... ou bien de respecter l'horaire des vols.
dimanche 3 juin 2007
very rasoanoro
Teo ampiandrasana mihitsy ary dia injay nihira ity finday an'i Rasoa. Ny zanany vavy moa no teo akaikiny ka dia nandray sy namaly :
Bijou :
Allôôô, oui!
Ny mpiantso :
Very aho ry tia. Aiza moa nomisy anareo ?
Bijou :
Miarahaba tompokô. Izy kay no tadiavinao azafady
Ny mpiantso :
Tsy i Té nga io ?
Bijou :
Mitady an'i madame Marie Té enao ! Andraso fa omeko azy ary. Aza miala an !
Ny mpiantso :
Lany ny crédit-ako ry 'ty a. I kala petak'orona nga io ?
Bijou :
Zanany aho ka
Ny mpiantso :
I Nesy ity. Very aho fa alaivo.
Bijou :
Hay ve i nenitoa Nesy io e ! Manaôna ? Inona no vaovao ?
Nesy :
Lany hoa ny crédit-ako fa aingana, alaivo aho fa very.
Bijou :
Fa aiza enao zao ?
Nesy :
Eto amin'ny Cyber Internet aho zao.
Bijou :
Aleo omeko an'i Mano enao fa izy no mahay ireny Cyber ireny.
Mano :
Manaôna nenitoa. Aiza ho aiza enao zao o ?
Nesy :
Eto amin'ny Cyber Internet aho zao hoa !
Mano :
Dia misy inona koa eo akaikiny ?
Nesy :
Misy tsena maro be sy arrêt an'i 119.
Mano :
Hay. Eo amin'ny terminus 119 zany enao io zao.
Nesy :
Ié.
Mano :
Aza mihetsiketsika eo aza fa tamy aho.
Dia lasa i Mano nihazakazaka tery amin'ny terminus 119. Tonga teny, nitoditodika nijery nefa tsy nahita. Nitady tao anatin'ny olona maro be sy ny tsena manodidina fa tsy tany ihany koa. Ary nijery tao amin'ity Cyber-café iray teo akaikiny fa tsy teo ihany koa. Nivoaka ny trano moa i Mano tsy nitondra finday ka voatery niverina tany an-trano naka finday mba ahazoana miantso ity very.
Tonga tany an-trano, hoy ny daholo: hita ?
Mano :
Tsy hitako izy fahaka finday aho alo hiantsoako azy.
Allo, nenitoa. Tsy hitako enao fa mba lazao ahy hoe inona avy no hitanao manodidina anao o !
Nesy :
Misy ity Cyber Internet ity hoa itsy akaiky itsy.
Mano:
Dia inona ihany koa ? Hitana ve ny Havana ?
Nesy :
Ny Havana ? Ary alavitra be ary zany ry 'tia. Tsy hitako eto.
Mano :
Odry. Ny trano anie ka aty akaikin'ny Ny Havana é.
Nesy :
Ka ilay mpitondra fiara-karetsakamilaza fa eto ny arrêt 119.
Mano :
Arrêt 119 sa terminus 119.
Nesy :
Tsy haiko zany.
Mano :
Bon. Somary mihetse kely hoe enao dia lazao izay trano lehibe tazanao !
Nesy :
Eto anoloan'ny Poste aho zao.
Mano :
Hay. Lasa lavitra enao fa andraso eo aho.
Dia lasa indray ity Mano nihazakazaka nakany amin'ny 67ha atsimo. Indro toko anie ity Rasoanoro.
Raha taloha ny olona mijery izay avaratra sy ny atsimo mba ahafahany mamantatra ny tany halehany, izaomijery sy maka "repère" ami'nitony trano lehibe sy magazay malaza. Ka raha mba izany ihany no fomba hamantaran'areo izay tany halehanareo, raha mbola eto Antananarivo renivohitra ihany, aza mba mijery itony tsena sy Cyber itony fa maniry toy ny anana ireny aty.
jeudi 31 mai 2007
Nana fête ses 14 ans
Souvenons-nous que 14 ans aujourd’hui, à 6h du matin (faute de moyen de communication à distance), Manou missionné pour aviser la sœur médecin sur les contractions de la veille de sa grande sœur, n’avait pas reconnu Nina compte tenu de ses coiffures style "mouton".
Souvenons-nous que 14 ans aujourd’hui, Eva, ayant été avisé de l’accouchement de sa grande sœur a quitté en tremble la villa des Antanosy … a dû utiliser comme indice : le monsieur à long cheveux pour pouvoir s’informer où était la chambre dans laquelle l’heureux évènement l’attendait.
Souvenons-nous, 14 ans aujourd’hui, Andrianina était née. Joyeux anniversaire Nana ….
dimanche 27 mai 2007
tantara taloha
vendredi 25 mai 2007
comptez les lions
jeudi 24 mai 2007
Voyage à Dubbay
La visite du fameux hôtel Burj El Arab (j'espère que je l'écris bien, sinon... euh ben tant pis) est enfin de mise.
Le petit groupe entre, C wouaaaaaaaah, et du Ohhhhhhh làà lààààààà et même du .... de dieu (comme cette dernière expression est un blasphème qui mérite une gifle cf. Indiana Jones et l'arche de l'alliance, G péféré le "coder"... rire).
Et puis ..... "cling clang" (pensez son du tiroir-caisse de Picsou)... et puis $ $ $ $ parce que il y a de l'or partout... même dans l'ascenceur !!!
Et Dany dans toute sa sagesse se dit "Oh pourquoi ai-je oublié ma lime ??????"
Et une bonne amie à moi a posé la question "pourquoi pas toute une pelleteuse????"
Voyage à Dubbay
Mais voilà que les jets d'eau semblent avoir raison d'eux ...
ils passent devant l'eau : elle est bleue,
ils font quelques pas plus loin l'eau semble ne plus être bleue mais d'une autre couleur...
alors finalement ils préfèrent jouer aux touristes et contemplent... parce que quand même l'eau qui se transforme, vous savez bien qui était le seul héros qui pouvait se le payer non ? (rire)
Et les voilà donc tous ensemble devant les fameux jets d'eau... tels la cour Royale de Louis 14 à Versailles... puis il y en a un qui s'exclame : mais où est passé l'eau ?
Devinez ...
Nouvel an chinois
Donc quand la reine mère éT en vacances ici à Maurice...nous nous sommes allées, voir la danse du lion, durant le nouvel an chinois 2007!
Pétarade, orchestre et danse au rdv... fabuleux!!! magique!!! extraordinaire!!!
Voilà les lions qui arrivent (dès que je sais comment télécharger un film sur le blog je vous l'envoie promis zuré krassé)...
Et voilà ... qu'une figure bien spéciale nous attire. Les lions se postent devant les portes des magasins , se tortillent et font la courte échelle (eh oui les lions savent faire ça aussi)
La reine mère et moi donc essayons d'y mettre la tête, le cou et bientôt tout le haut du corps pour "espionner" ce qu'ils font...
Et hourra ...ils récupèrent une petite enveloppe bien garnie (et pas de van tan spécial hein) accrochée en haut, à chaque seuil de porte...
Et voilà que la reine mère fait une analyse philosophique digne de sa royauté :
"eh bien on saura qu'ils ne se fatiguent pas pour rien ces lions"
Voilà comment nous bonnes malgaches nous voyons ce rituel millénaire de la danse du lion (rires)
vendredi 18 mai 2007
Ascension
Invités à la confirmation de Antonio et de Andriano et dans le souci que les enfants, peu habitués à cette grande cathédrale, fassent des bêtises, explication et préparation ont été faites par les parents. La monnaie de la quête est distribuée aux deux garnements et les jolis habilles sont sortis pour l’occasion.
Papa … fort :
A l’arrivée à l’intérieur de l’Eglise et en attendant la messe
Arnaud : c’est grand dit donc sa maison
Papa : oui, sinon, il ne peut pas accueillir tout le monde
Brandon : mais où il est ?
Papa : là-bas, sur le croix
Brandon : mais il est mort ?
Papa : oui, il est mort pour nous et ressuscité
Brandon : et ton papa aussi, il est mort hein
Papa : oui, il est mort
Brandon : mais il est toujours dans le trou hein
Papa : oui …et on dit tombeau
Brandon : ton papa n’est pas fort hein.
Papa : pourquoi tu dis ça ?
Brandon : parce qu’il est mort
Papa : oui mais tout le monde va mourir un jour, tu sais
Brandon : moi je vais mourir quand je serais vieux
Papa : mais mon papa aussi. Il est mort quand il était vieux.
Brandon : non, j’ai vu sa photo à la maison. Il n’était pas encore vieux. Tu mens.
Offertoire :
Les serviteurs de l’Eglise s’approchent et l’assistance se prépare en sortant chacun leur quête. Le top est également donné aux deux garnements. Au passage du sobika, l’aîné, Arnaud suit le mouvement mais le cadet, Brandon exécute le geste contraire. Au lieu de verser, il retire …
Arnaud : non, Brandon, il faut donner mais pas prendre
Brandon : oui mais, j’ai perdu mon argent
Arnaud : tu l’as mis dans ta poche
Brandon : je ne le vois plus
Durant tout ce temps, le sobika attend d’être rempli. Vu qu’il ne bouge pas, le père se tourne vers les deux enfants et leur demandent de faire passer le sobika.
Arnaud : papa, Brandon a pris de l’argent dans le sobika
Papa : aie … Brandon, qu’est-ce que tu as fait
Brandon : je l’ai pris mais j’ai déjà remis dedans
Papa : mais on t’a expliqué que c’est ton argent qu’il faut donner non ….
Brandon : oui mais j’ai déjà donné.
Communion :
Avant de prendre le corps du christ, papa a dit à ses enfants : reste-là … bien sage
Au retour, Florine qui n’est pas catholique a raconté.
Quand vous étiez parti, Arnaud s’est approché de moi et m’a demandé vous n’allez pas manger ?
Alain, son mari lui a répondu : vas-y toi.
A cette question, Arnaud lui dit : non, je suis encore petit moi. Vous êtes grand … vous pouvez manger son corps.
Brandon : beurk … manger le corps du christ ….
Questions :
Est-il indispensable d’amener les enfants à l’Eglise ?
Est-il nécessaire des les amener tous les dimanches pour qu’ils s’habituent et ne front plus de bêtises ?
A quel âge est-il mieux de les mener à l’Eglise ?
mardi 15 mai 2007
histoire de rêve
Vers 3 heures du matin, il a vu et senti que le monde était fatigué. Pour se racheter et pour les garder de son côté, il dit :
papa, tu sais hein, j'ai fait une histoire. Une histoire de serpent. Il est grand et m'a attrapé. Il m'a serré et je n'arrive plus à respirer après.
papa :
on dit : j'ai fait un rêve, mais pas j'ai fait une histoire.
Brandon :
non, je te raconte mon rêve ... c'est une histoire.
telopolo dimy amby i eva
La même année, notre famille s'est vue agrandir car l'espiègle étoile de danse était née le lendemain de la révolution estudiantine, durant les heures de couvre-feu.
Lehibe enao zao ... Maniry ny soa sy ny tsara hatrany ny daholo
trois mains
Brandon, tu peux ramener la chaise à sa place !
Brandon :
non
papa :
... pourquoi non. Tu ne fais rien là. Va ramener cette chaise à sa place. J'ai toujours dit de ne pas derranger si tu ne veux pas ranger après.
Brandon :
oui mais, je n'ai pas trois mains moi.
Va savoir la raison d'avoir trois mains dans l'histoire.
mardi 8 mai 2007
olé pour josé
ny ahy zo ny reflexion ko de le hiran'i (iza moa le nigdra iny?) .... fa mba iza ny anaranao... ny hy kosa de jojé......
mallus liopotamus
Ariane à Nina :
- Bonjour l'hipopotame !!!
- et en chuchotant, je sais que je dois pas dire çà mais je peux te le dire quand même?
Maman cool, LOL : bien sûr !
- Bonjour l'hipopotame !
- Bonjour la demi-hippopotame !
- Pourquoi demi-hipopotame ?
- tu es ma moitié, si je suis hipopotame, tu es demi-hipopotame !
- ah bon, et Kevin alors il est quoi ?
- c'est un garçon, çà n'a rien à voir avec les histoires d'hipopotame
Kevin :
- moi je suis un demi-lion!
- et le croisement entre un lion et une hipopotame, c'est un ........... LIOPOTAME !!!!!
samedi 5 mai 2007
10 ans de Kevin
Merci pour la fête, bon courage pour le nettoyage et à l’année prochaine.
Errata : lire le petit Mall au lieu de le petit à Mall (milles excuses)
Photoana 2007
Du 06 mai au 09 juin 2007, sur 7 sites des 12 collines et avec la participation des photographes d’outre-mer (Afrique du Sud, La Réunion, Maurice, Rodrigues et la France), les amateurs, les professionnels ainsi que les passionnés sont et seront bien servis, bien satisfaits des prestations exposées.
Le gagnant du prix Photoana 2006, Abe, n’a pas exposé ses œuvres cette année. Par contre, le 25 mai à 8h30, vous pourrez le voir au CCAC – Centre Culturel Français pour présenter « Gestion de la production photo sur ordinateur ». Ce n’est pas parce qu’il n’expose pas qu’il n’est pas dans la photo … photoana. Au contraire, il fait partie des organisateurs pour cette édition.
Le thème dont il a la lourde responsabilité est tout à fait intéressant dans la mesure où la technologie numérique a fait et fait de grand pas dans le domaine de la photographie. Vous êtes ainsi convié de l’assister, d’assister et de faire parler du Photoana autour de vous.
Bon cliché à tous.
samedi 28 avril 2007
contenant - contenu
moi j’aime que mon goutter à l’école soit du pain au fromage
Maman :
tu n’aime plus donc les biscuits spiderman ?
Brandon :
si, j’aime mais ça ne donne pas de la force
Maman :
mais si, tu ne vois pas le dessin sur le biscuit ?
Brandon :
mais pourquoi alors, quand je mange le biscuit, j’ai toujours faim ?
mercredi 25 avril 2007
perle gaga
passant devant la mosquée des Khojas à Ankorondrano, ouh la la, un palais
Kevin :
mais non, c'est une église ... une église de nous
perle manitantsaina
- Ariane : maman, pourquoi on va changer le drap de Pappy ?
- Maman : c'est mouillé. Et puis tu sais, c'est comme nos draps à nous, il faut les changer toutes les semaines ....
- Ariane : ah bon, pour lui aussi c'est sale ?
69 ans
Que Dieu te donne toute la force et une bonne santé pour vivre jusqu’à 100 ans.
Joyeux anniversaire Mémé …
lundi 23 avril 2007
Z.P.
Aujourd’hui, j’ai accompagné 2 gendarmes à Miarinarivo où une affaire contre un de mes anciens collègues est déférée. De Tana à Miarinarivo, il y a quand même une bonne heure et demi de route … alors on se raconte des histoires.
Un des deux gendarmes a ainsi raconté ce vécu :
1. Il y a quelques années de cela, il assurait la sécurité routière. Il avait ainsi la charge de contrôler les véhicules empruntant les routes nationales. Tout le monde sait que il y a un bon deal entre le gendarme et le taxi-brousse-men. Notre gendarme, de peur se faire attraper par ses supérieurs, cachait dans un sac en plastic ses butins. Le sac est bien caché près d’un arbre, l’attendait le soir avant de rentrée, après contrôle de ses supérieurs. Un des gosses du coin a remarqué le manège de notre gendarme et un jour, durant que ce dernier était occupé à s’approvisionner auprès de son taxi-brousse-men, le gamin a pris le sac et partait sans courir tout en regardant notre gendarme. Il le vit très bien que l’enfant est avec son sac mais il ne peut même pas courir dernière vu que c’est le fils du Chef … Adieu butin et trouvons une autre cachette.
2. Ce même gendarme a connu quelqu’un de très malin vu que ce dernier, le taxi-brousse-men, a réussi à lui filer quelques billets de bus. En effet, pour ne pas attirer l’attention des passagers et pour que les collègues ne voient pas le mouvement, la chose est transmise de façon de très rapide et de suite mise dans la poche. C’est beaucoup plus tard qu’il regarde et compte la somme. Seulement, cette fois-ci, il n’y avait que des billets de bus … Plus malin que le malin, tu meurs.
commandeur
- arrêté n° 311-PRM/CCH du 23 août 1995, est nommée Chevalier de l’Ordre de Mérite
- décret n° 95-453 du 23 juin 1995, est nommée Chevalier de l’Ordre National
- décret n° 2000-642 du 25 août 2000, est nommée Officier de l’Ordre National
Dame Rasoarimanana est nommée Commandeur de l’Ordre National suivant décret n° 2006-625 du 23 août 2006.
Nous félicitons notre Maman et que cela nous donne bonne exemple.
PS :
lu dans le JO, M Velonjara est également nomminé à ce titre.
mercredi 18 avril 2007
83 ans
Dame Rasoa, tes enfants ainsi que tes petits enfants ont une pensée spéciale pour toi papa.
Ironie de l'histoire, aujourd'hui est également la 1ère année de mariage de Jeannot et de Virginie !!!!!!
pétasse de papa va !
Brandon, en voyant son grand frère se faire remonter les bretelles par le père méchant en a pitié et a le cœur brisé, s’avance et lui fait un petit câlin. Avec son regard foudroyant et d’un ton sec, il répond à son père : « tu es une pétasse papa … »
Bouche bée, sans voix, le père le regarde et n’ose même pas lui demander d’où il sort ça ? quelle réaction faire face à cette situation ? face à cette menace, face à cette détermination de vouloir protéger son frère.
Vaincu, le père ne réplique pas mais de suite envoie un e-mail à sa sociologue de sœur pour conseil.
Et vous, quel conseil me donneriez-vous ?